Publicazioni

La mediazione patriarcale nella monarchia assoluta

Nel tempo della demitizzazione – che è anche contestualmente tempo di rimitizzazione – è giunto il momento di certificare la morte di una entità storiografica nella quale intere generazioni di studiosi (e, con loro, di insegnanti e di scolari) hanno creduto: la «monarchia assoluta». L’immagine tralatizia del re-onnipotente, sostituto di Dio in terra, garante unico dell’ordo juris, lex animata (in greco: nomos èmpsukos), incarnazione del potere politico sovrano e giustiziere supremo del regno, è stata progressivamente erosa da un serrato confronto con la realtà di fatto descritta da ricerche sempre più approfondite che hanno mostrato la grande complessità della struttura statuale di Antico Regime . È così emerso un reticolato di esperienze costituzionali brulicanti di relazioni politiche, economiche e sociali che solo una vera e propria mistificazione – ex ante ed ex post – ha potuto elidere dalla ricostruzione storiografica. Questo saggio s'inserisce in questa linea storiografica e mostra i percorsi della mediazione patriarcale dei giureconsulti magistrati all'interno dei meccanismi, delle strutture e degli equilibri politico-istituzionali della monarchia di antico regime, giungendo anche a mostrare gli effetti positivi del mito dello Stato monarchico-assoluto sulla psicologia sociale e sulla mentalità statuale.

La civilizzazione statuale neologismo specialistico e strumento di comprensione del pensiero moderno,

foster et al

Cesare Beccaria et l'esprit constitutionnel du droit moderne in Melanges M. Ganzin

Cet étude introduit le lecteur au grand thème posé par l’oeuvre de Cesare Beccaria, et notamment par l’ouvrage Des délits et des peines (Dei delitti e delle pene), qui l’a rendu célèbre comme le juriste-philosophe qui proposa en premier l’abolition de la peine de mort et de la torture. Beccaria n'épargne pas ses lourdes vanes envénimées contre l’arbitre des juges (l'idéologie des arcana juris) et au même temps contre le confus et désordonné status quo de l’ordre (en effet plutôt désordre) juridique. Pour Beccaria la loi est le seul acte juridique du pouvoir souverain et le rôle du juge doit être limité à la seule application sans aucune création normative par voie d’interprétation. En dépit des apparences, toutefois, dans ces passages cruciaux Beccaria paraît souvent ambigü et nuancé. Un point de capitale importance, qui n’a jamais été dûment souligné c’est le fait qu’il defend, naïvement, la méthode matematico-géometrique (le vieux et désormais discrédité et périmé esprit de géométrie) et ne prend jamais parti pour la méthode expérimentale. Celle-ci, à partir de Newton, s’était imposée comme la forma mentis la plus d’avangarde et moderne, celle qui avait détruit l’esprit métaphysique et fondé l’esprit scientifique. Justement il fut – pour la plûpart – cet aspect qui détermina en France le débat autour de l’ouvrage de Beccaria. Le traducteur français, André Morellet, un intellectuel branché, qui était très bien inséré dans le débat philosophique et politique, ne tarda pas à s’apercevoir de la difficulté qui émergeait des pages du traité Des délits et des peines. Il prit alors une décision forte et autonome : il aurait amendé le texte de Beccaria, rayant ou attenuant décidément dans la traduction française toutes références à l’esprit de géométrie et au mathématisme comme méthode infaillible de la connaissance à priori. Quand le texte fut publié un très grand et acharné débat allait se déchaîner entre qui – comme Voltaire – soutenait qu’il fallait respecter la version originale et que c’était scandaleux non respecter la volonté de l’auteur, et qui – comme Rousseau, ami assez étroit de Morellet et sans doute son inspirateur ou carrement ‘complice’ – louait au contraire la décision de ‘purifier’, d’expurger le texte pour en faire ressortir mieux la valeur (c’est-à-dire pour l’utiliser dans la battaille radicale contre le vieux status socio-politique). Derrière ces deux options se cachaient deux diverses interprétations et deux divergentes lignes strategiques de politique culturelle. D’un côté il y avait une idée plus souple, modérée et graduelle, dirait-on plus ‘politique’. De l’autre part, il y avait les Lumières radicales (bien étudiées, il y a quelques années, par Jonathan Israel ) : selon cette ligne théorique il était une erreur céder à toutes médiation de sorte et contre le vieux monde il fallait utiliser ouvertement la chauve-souris.

A Forward-Design Approach to Increase the Production of Poly-3-Hydroxybutyrate in Genetically

foster et al

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